Bridge sur le divan

20,00 

Description

Le fabuleux destin d’un joueur ordinaire

 

Ma première vie de joueur de bridge a été anodine entre 1976 et 1985 pour finir classé 2ème  série carreau. J’ai arrêté de jouer pendant quinze ans.

 

Ma deuxième vie de joueur est miraculeuse depuis 2000, à cette époque on m’a demandé de remplacer ponctuellement une joueuse indisponible pour raison médicale. Le virus du bridge m’a alors frappé.

J’ai eu la chance de rencontrer de jeunes joueurs talentueux, Jérémie Tignel et Jean-Philippe Hamon en particulier.

Ils ont accepté d’être mes partenaires, ils m’ont permis de jouer sept années consécutives en DN1 et DN2 par paires.

 

L’apothéose a été une victoire improbable en DN2 par paires en 2010 avec Jean-Philippe, malgré mes nombreuses erreurs mais grâce à notre solidarité sans faille.

Ce titre a été le prélude à  Bridge sur le divan, il a mis quinze ans à se concrétiser.

Le bridge est un jeu d’une richesse infinie qu’on ne peut que partager.
J’essaye de partager ma passion, par oral et par écrit.
Cet ouvrage parle de moi, mais aussi de vous.
Ma névrose participe aux huit personnages du roman, mais plus à certains qu’à d’autres. Je me suis aussi inspiré de joueurs bien réels rencontrés au fil des donnes..

 

Les huit personnages du roman ont un jeu particulier

Machiste avec Jacques, il croit mieux jouer que sa partenaire, il veut jouer tous les coups,
Féministe avec Charles-Gustave, il veut faire plaisir à sa partenaire,
Inhibé avec Marie, elle doute d’elle-même et a une confiance absolue envers son partenaire, elle le fait jouer les contrats autant que possible,
Désinhibé avec Sigismond, il fait tout et n’importe quoi à tout allure, il est empressé,
Ambitieux avec Bruno, ‘’ Le bonheur pour tous ‘’,
Empathique avec Françoise, ‘’ Surtout pas d’histoires ‘’,
Analysant avec Mélanie, ‘’ Je le connais, s’il a fait ci il va faire ça ‘’,
Créatif avec Paul, ‘’ J’ai une idée, je vais innover ‘’.

Ce roman souhaite d’abord distraire mais aussi rendre hommage au bridge (en faisant le deuil du sans-faute), aux partenaires ( avec qui on forme un couple), aux équipiers ( avec qui on constitue une famille), mais aussi à la lecture, à l’écriture et à l’analyse, qui permet de mieux se connaitre et s’accepter.

Il vénère l’amitié, la fraternité, la convivialité et … les femmes, dont le jeu est souvent mésestimé.

Nous jouons comme nous sommes.

Le jeu dit qui nous sommes.

Frédéric Ledan